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vendredi 20 mars 2020

Covid-19 in 2020 for remembrance

Big crises, giant angriness.
The whole period is just that and so much more.
I decided myself to write, writing is soothing, writing won't solve my problems, our problems, but it's soothing anyway.
What I see through covid-19 events, is people won't change. Bastards will still be around chasing money, bastards will still play double games and jeopardise people lives, bastards will even kill for their own safety.
How will we be able to thank the guys and women putting their lives on the line to save us.
Yesterday I cried out of despair in front of tv when I realised what this eminent doctor said : it will be a year before any vaccination will be available, when it's needed now.
Chinese scientists must be held responsible for spreading this awful virus, they must be held responsible for each death.
It's almost like all laboratories were excited to play with death, coming in their shining armour to save us...
How much will it cost? None said they will give for free the vaccination prototype.
In my mind, trigger was, so they didn't get it.
We're faced with the most deadful and dreadful opportunity to change, and what do we do? Yes I am angry as we should all be.
Angry for people paid an enormous lot to take responsibility and who doesn't.
Angry because liberty, beauty of life, will be lost after all this.
Angry because I see the selfishness all around, the lack of responsibility, the lack of common sense, the lack of preparation when faced with such enormity.

lundi 20 août 2018

Production du jour

De la fuite du temps, la république et la religion Barrage à l'Amérique Contraste de cette route barrée pleine de mystères Jungle de chemins en campagne Ou tour de Pise de bois morts La minéralité du péri-centre Errants au coeur de la jungle de Fernand Léger Couleur de la gorge d'une femme Gros ensembles massifs, pénétrant Donnent à penser sur l'âme humaine. --- Errants dans l'arc-en-ciel de mes heures perdues Je finis par Fernand Léger et ses colombes Désignant la république en arche insoumise Tour de Pise branlante Je perds en dessein Ce qui me gagne en gorge nouée Cette peur délicieuse D'une jungle pleine de mystères Ces routes barrées comme un échec Face à l'église perdue Au milieu d'un marécage béant -- Désirer effilé, Branlante, tremblante, solide La tour de Pise et de bois morts, décrépitude et tombant Contraste, du bâtis et de l'imaginaire, oh ciel, Barrage contre la fuite du temps, tic, tac, je coule Sinistre pédant, Dévore, gloutonne, avale, Ce qui me gagne, désespoir et mélancolie Par segments successifs, chercher et disséquer, pour plaire Je perds en dessein, signée et malhabile, j'explose divine

jeudi 12 avril 2018

Napowrimo Day 6

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2042341032759048&id=100009495127614

Napowrimo day 8 , Cette mamie-là, french only

Cette grand-mère sans attaches
Sans parti pris
Que fait-elle posée là
Cette insulte primaire au bon droit
Que fait-elle là debout
Si forte et si fragile
Des maux partout
En équilibre instable
Elle rocke terrible,
Cette mamie-là
💙💙💙💙💙💙💙💙💙💙

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2043024809357337&id=100009495127614

Ha je crois que j'ai trouvé une solution pour les photos. On verra si ça marche...

Napowrimo Day 7

Petite fleur

Sois douce et vole
Doucement dis
Moi que tu m'aimes
À l'entendre si folie
M'était contée
Dans cette brise
D'un autre temps

Napowrimo Day 7 . Jour 7.
Les photos ne semblent pas vouloir se charger depuis ma tablette sur blogger, elles arriveront plus tard...

Napowrimo Day 11, réf les toupies hurlantes, french only

Napowrimo Day 11 (Bon, cette proposition n'est pas très joyeuse...)

Chaque jour il passait par ici
Ombre parmi les ombres
Machine humaine respirant
Aspirant à bien des choses
Le défilement cadencé des wagons jouait de ses nerfs
L'homme était posé là comme une marionnette
Un pantin sans queue, ni tête
Que faire de ses illusions perdues
Quand le rythme court
Telle frénésie le perds
À la fin, le bateau coule
Le pantin désarticulé se retrouve sans tête
Entêté à continuer sur le chemin de sa vérité
Sans compromis, il avance
Vers sa fin prochaine

SD.

La miss alcoolisée, texte plus si court (suite) - french only

Bonjour,

Juste un message rapide, pour le cas où vous auriez un doute, je n'avais jamais écrit d'histoires courtes ou pas courtes, des textes poétiques oui, mais pas des histoires, ou alors des bribes de textes mal ficelées, très mal en fait. C'est tout nouveau, et je remercie les Toupies Hurlantes d'être venus sur mon chemin... Bonne lecture et merci de venir lire, c'est inestimable.


Chapitre 1

Je croyais parler et il croyait que je ne parlais pas. J'avais décidé de braver mes peurs, malgré la tempête de neige qui s'annonçait.
Impossible de l'éviter, ce blizzard s'annonçait atomique. J'attendais qu'il m'écoute ce grand escogriffe. Sérieusement,  pour qui se prenait-il? Je n'avais pas toute la journée devant moi, mais qui l'avait avec cette tempête des enfers du Nord...
Non, il faisait toujours la sourde oreille et m'ignorait carrément. Il fallait que je trouve un moyen de me rendre abordable, sérieusement? Abordable? Ça voulait dire quoi au juste? J'en ai pourtant rien à faire de ce mec là.
Le choc n'en était que plus grand, réaliser que je venais à ces séances de merde, parce que mon contrôleur judiciaire ici présent me l'avait ordonné et réaliser que ce mec était plus attirant que George Clooney. Dans quel guêpier me suis-je mise encore!
Ha... la pulpe de ses lèvres, mais quelle douceur se devait être que ces lèvres se posent sur mon sein...
Arrête de rêver cocotte! Tu ne l'auras jamais dans ton lit...
Bon, pas trente-six mille solution, je cours au supermarché,  je vais m'acheter une tente canadienne tout confort et je m'installe dans son jardin! Peut-être finira-t'il par noter la cruche qui prends racine au pied de son arbre fétiche.
La caissière du supermarché a fait une drôle de tronche quand je me suis radinée façon top model dans son rade de bas étage et que je lui ai demandé si elle avait une tente canadienne... oui, Madame, spécifiquement canadienne! On ne prends pas n'importe quoi pour planter sa tente dans le jardin de George, ai-je dit, avec un air de défi.
Les néons blafards étaient difficile à éviter. J'avais l'air d'une poupée gonflable sur le retour. La caissière commençait à voir jaune. Enfin je trouvais mon bonheur et la laissais fermer en râlant son piteux commerce.
Je rentrais dare dare à ma séance des alcoolos anonymes. George n'attendait que moi, bien sûr...
Il en avait profité pour s'occuper d'un petit vieux croûlant qui n'avait probablement plus beaucoup de plaisirs dans la vie, à part la bibine.
Pour qui se prenait-il pour voler ainsi toutes mes attentions, ce Don Juan de pacotilles. Des chocs, il allait en avoir, j'allais trancher dans le vif, c'est moi qui vous le dit...
Sur la carte de mes amours, je lui donnais un zéro mental bien senti, à la mesure de mes illusions perdues. Jamais, je n'aurais imaginer écrire ici mes turpitudes ou les oublis de mon coeur, dieu qu'il était beau à mes yeux ce grand couillon. Puis, je l'ai laissé aux alcoolos, me promettant de ne jamais y retourner, ma bouteille sous le bras.


----- suite :


Le lendemain, après une nuit noire, j'y retournai encore. Accroc, je vous dis... le beau gosse était toujours là. Apparemment la seule chose qui attirait son attention était les interventions des membres du groupe. Et dieu sait que la parlotte et moi, ça faisait deux! Au final, je me retrouvais assise auprès d'une blonde siliconée à mort, dont la coiffure toute en boucles à la Rita Hayworth ne déparait pas les magazines les plus 'has been' des cabinets de médecins.

De fil en aiguille, me voilà pas invitée à dîner par la blonde pulpeuse...

Chapitre 2

Quelques jours plus tard, je me retrouve comme une cruche devant la porte de mon meilleur ami. Et quand je dis meilleur ami, ce n'est pas n'importe qui, c'est ce mec qui ne vous lâche pas même dans les coups durs, qui vient vous remonter le moral en prison chaque semaine, quand vous vous êtes pris un mois ferme pour ivresse sur la voie publique de manière éhontément répétée. Tellement répétée que le juge n'a pas eu le choix...

Donc je suis là comme une cruche quand la blonde pulpeuse des alcoolos anonymes ouvre la porte en déshabillé ultra sexy. Là j'avoue, je marque un temps d'arrêt involontaire. Je n'aurai jamais imaginé mon ami avec pareille créature! Quoi, on peut être surprise le connaissant, non?

La blonde m'invite lascivement à entrer et je devine sous son costume sexy de policier, un dessous de dentelles affriolantes totalement dark, donnant l'impression qu'elle avait un cousinage certain avec les corbeaux. Je cherchai encore les griffes quand un début de tatouage de serpent apparut sous mes yeux à un endroit que la décence m'interdisait de nommer. Mazette, quelle donzelle...

Je relevai les yeux, un rien interloquée pour croiser son regard malicieux.
- « Quelque chose vous plaît dans ce que vous voyez ? Vous souhaitez que je vous explique ?
- Euh..., balbutiai-je vainement.
- Ne soyez pas si timide, et laissez-moi prendre votre manteau. Si j'en juge par votre air, notre ami commun ne vous a pas parlé de moi...
- Non, en effet. »
Tiens, ma langue consentait à refonctionner. Je sentais une pulsion sadique dans ces quelques mots, le tout porté par un comportement légèrement gaillard, qui frisait l'ironie douteuse. La blonde siliconée, l'écume aux lèvres, n'en continuait pas moins son petit monologue.
- « Vous voyez ici, nous avons la chambre, ici, la chambre de torture, et enfin ici, la cuisine salon avec vue sur ce magnifique ciel pluvieux. Je vous en prie, asseyez-vous et mettez-vous à l'aise. Vous êtes ici chez vous. Notre ami m'a longuement parlé de vous, de votre petit penchant pour la bouteille aussi. Penchant que nous avons en commun à l'évidence. Vous vous demandez ce qu'est la chambre de torture bien sûr... Il est encore un peu tôt dans notre relation pour que je vous montre cette pièce très décorative de ma vie. Vous disiez ?
- Euh, je me demandais simplement quand notre ami serait là ?
- Ne vous inquiétez pas, je ne vous laisserai pas vous enfoncer dans un questionnement sans fin. » La blonde se faisant, s'assit en face de moi sur un fauteuil typiquement hollywoodien, croisant bien haut ses jambes fuselées et montrant plus que la décence ne pouvait en supporter. « Mon cher et tendre possède un étang de pêche, et ne trouve rien de mieux que de me délaisser au profit des goujons et autres carpes qui foisonnent dans ce lieu presque marécageux. Il n'en revient qu'avec des grenouilles et des têtards qu'il aide, sans grande réussite, à se reproduire dans mes bocaux vides.
- Diable, cela ne lui ressemble pas, et j'ignorai ce détail de sa vie... », dis-je légèrement troublée.
- Allez, hissons en cœur le drapeau blanc sur la vie misérable des têtards et sur celle de mon cher et tendre, buvons un coup ! »





mardi 3 avril 2018

Napowrimo Day 3, english only

Poetry and dialogue (prompt from napowrimo website, from yesterday)

I aim to see through dark skies
You were asking for more in a condescending way
I was telling you to listen more
You answered with a pantomine
I decided to tell no
You told me no more
I was there left alone
You just smile and brought me my sweets

3rd of April.

lundi 2 avril 2018

Test, écriture, texte court

Je croyais parler et il croyait que je ne parlais pas. J'avais décidé de braver mes peurs, malgré la tempête de neige qui s'annonçait.
Impossible de l'éviter, ce blizzard s'annonçait atomique. J'attendais qu'il m'écoute ce grand escogriffe. Sérieusement,  pour qui se prenait-il? Je n'avais pas toute la journée devant moi, mais qui l'avait avec cette tempête des enfers du Nord...
Non, il faisait toujours la sourde oreille et m'ignorait carrément. Il fallait que je trouve un moyen de me rendre abordable, sérieusement? Abordable? Ça voulait dire quoi au juste? J'en ai pourtant rien à faire de ce mec là.
Le choc n'en était que plus grand, réaliser que je venais à ces séances de merde, parce que mon contrôleur judiciaire ici présent me l'avait ordonné et réaliser que ce mec était plus attirant que George Clooney. Dans quel guêpier me suis-je mise encore!
Ha... la pulpe de ses lèvres, mais quelle douceur ce devait être que ces lèvres se posent sur mon sein...
Arrête de rêver cocotte! Tu ne l'auras jamais dans ton lit...
Bon, pas trente-six mille solution, je cours au supermarché,  je vais m'acheter une tente canadienne tout confort et je m'installe dans son jardin! Peut-être finira-t'il par noter la cruche qui prends racine au pied de son arbre fétiche.
La caissière du supermarché a fait une drôle de tronche quand je me suis radinée façon top model dans son rade de bas étage et que je lui ai demandé si elle avait une tente canadienne... oui, Madame, spécifiquement canadienne! On ne prends pas n'importe quoi pour planter sa tente dans le jardin de George, ai-je dit, avec un air de défi.
Les néons blafards étaient difficile à éviter. J'avais l'air d'une poupée gonflable sur le retour. La caissière commençait à voir jaune. Enfin je trouvais mon bonheur et la laissais fermer en râlant son piteux commerce.
Je rentrais dare dare à ma séance des alcoolos anonymes. George n'attendait que moi, bien sûr...
Il en avait profité pour s'occuper d'un petit vieux croûlant qui n'avait probablement plus beaucoup de plaisirs dans la vie, à part la bibine.
Pour qui se prenait-il pour voler ainsi toutes mes attentions, ce Don Juan de pacotilles. Des chocs, il allait en avoir, j'allais trancher dans le vif, c'est moi qui vous le dit...
Sur la carte de mes amours, je lui donnais un zéro mental bien senti, à la mesure de mes illusions perdues. Jamais, je n'aurais imaginer écrire ici mes turpitudes ou les oublis de mon coeur, dieu qu'il était beau à mes yeux ce grand couillon. Puis, je l'ai laissé aux alcoolos, me promettant de ne jamais y retourner, ma bouteille sous le bras.
Voir les Toupies hurlantes, groupe facebook, le prompt vient d'eux... et merci, je me suis éclatée!

Vole, vole, vole

J'ai participé au concours Culturalivres... ma foi, je ne pensais pas arriver aux 1500 signes requis...
--
Vole, vole, vole,
De bonheur en douceurs,
je vole vers vous,
espérant un geste, une amitié
je dessine doucement les contours
de mes rêves de couleurs
de vivre en harmonie
mon cœur balance au rythme
de cette mélodie
ceci est mon histoire
ceci n'est pas que mon histoire
je recherche l'équilibre délicat
dans un déclic de mes pensées
et je vous l'offre de bon cœur
pour que vous en abusiez
servez-vous de cette joie
de cet espoir d'aller mieux
en avant de toute discorde
vers une liberté vraie
ne dépendez pas de moi
prenez-la en partage
ne la dissimulez pas
cette joie sans ambages
elle court vers vous
elle est en vous
elle s'insinue dans votre cœur
c'est mon chemin
ce peut être le vôtre
encore est-il lourd de sens
pour qui regarde autour
un pas vers l'autre
une main pour un cœur
touchés vous le serez
car je ne sais pas faire autrement
cherchez, fouillez,
sans sourciller, sans hésiter
doucement il bât
doucement il vous dit
que le bonheur est dans vos pas
ne cherchez pas ailleurs
oui vous approchez
poum, poum, poum,
de ce cœur qui bât
et vous dit plus que la joie
que ce bonheur là ne s'achète pas
J'ai vu de la souffrance
j'ai vu des peurs
là où nos cœurs se sont arrêtés
nous avons joint l'utile à l'agréable
sans regarder vraiment
et pourtant dans toute cette mélancolie
des bonheurs il y en a eu
cet enfant qui est comme le mien
les avoir connus pour le temps qu'ils ont vécu
ces parents que l'on n'oublie pas
des pas peu assurés
d'un bonheur à l'autre
sans sourciller
et croire en l'éternité
quand ce ne sont que quelques secondes
profitez, c'est fugace
poum, poum,... poum,
je me suis arrêté de battre
ce bonheur dans mon cœur
que j'ai tant mérité.


This one is a French concourse on culturalivres website, prerequisite was to write 1500 signs, which I did to my own amaze
Fly
From happiness to delicatessen
I aim to you
Wishing for a move, or any friendship,
Designing sweetly the surroundings
Of my coloured dreams
To search for harmony
My heart live into the rhythm
Of the melody
This is my story
This isn't only mine
I search for this delicate pace
In a click of my thoughts
And I offer this from dear heart
So you can abuse from it,
And use this joy
This hope to get better
Racing over discordance
Towards a true liberty
Don't depend on me
Take it to share it
Don't hide it
This joy without brakes
It races towards you
This is in you
It's getting into your heart
This is my travel
It could be yours
Again is it full of meaning
To those who look around
One step after another
One hand for a heart
Touched you will be
I don't know how to do otherwise
Search in, dig in
Without surprise, without hesitation
Sweetly it knocks
Sweetly telling you
Happiness is in your traces
Don't look further
Yes you are close
Boom, boom, boom
From this beating heart
Which is telling you more than joy
That this happiness isn't to sell
I saw suffering
I saw fears
Where our hearts stopped
We added usefulness to practicality
Without watching attentively
But then in all this melancholy
Happiness was in several places
This child who is like mine
To know them for a lifetime
This parents you can't forget
Unsteady steps
From an happiness to another
Without a move
Believe in eternity
When it's only seconds
Make it now, it's versatile
Boom, boom... boom
The beats went to a stop
This happiness in my heart
I so deserved



Napowrimo Day 1

Je suis un peu retard pour #napowrimo, donc 2 poèmes à venir pour la réouverture de mon site...

Nouveau né

Naissance de soi,
Douceur méditative
Contemplation de soi,
Délicat mélange,
Donner ce que l'on est,
Définir ce qu'on est
Vivre dans l'instant
Précieux moment avec soi
Laisser couler les peines
Et sourire à nouveau
Naître à soi-même

I am a tad late for #napowrimo challenge, so there will be 2 poems today... enjoy.

Newly born

Born to self
Meditative delicacy
Contemplate oneself
Intricate melting
To give what we are
Define what we are
Live the moment
Precious instant with oneself
Let go your pain
Smile again
Giving birth to a new self